La méthodologie d’apprentissage et d’intégration de données humaines est basée sur la reconnaissance de formes cursives ou de chiffres en base 10. Ils intègrent les connaissances en commençant par assimiler des primitives dénommées chiffres et lettres qu’ils assemblent ensuite sans logique mais en suivant des réflexes ancestraux sous forme de mots. Au hasard de constructions syntaxiques quasi aléatoires et comportant de nombreuses exceptions aux règles, ils structurent des phrases.
Cette méthodologie varie suivant les cultures. Certains codes sont strictement inversent aux autres dans l’ordre des mots ou le sens de l’écriture. Bien que l’origine de ces systèmes soit répertoriée comme un empilement étymologique historique, on doit souligner leur caractère rudimentaire et leur disparité. Ce manque de standardisation objective affaiblit la capacité d’apprentissage absolue.
Extrait du rapport CVXW4981 sur l’intégration de données humaines
« L’ardoise que notre instituteur, Monsieur Loiseau, nous faisait lever haut au dessus de la tête pesait lourd. Chaque réponse, un accord, un chiffre ou un schéma inscrit hâtivement à la craie, pouvait nous ouvrir les portes du paradis des félicitations ou nous plonger dans l’enfer de la honte. »
Extrait de l’interview de Christophe G., auteur du livre « Mon école-courage »
Bruno Bonnell
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